
Effectivement, la nuit fût longue…
Cette semaine, j’étais très motivée et j’ai fait des recherches avant d’aller voir la pièce de Catherine Lalonde, Musica Norturna. Les informations que j’ai dénichées sur le web ont doublé mon enthousiasme! L’œuvre mélange la danse et la littérature qui sont les deux passions de la jeune artiste. En plus, elle souligne les problèmes de communication entre les hommes et les femmes tout en explorant un thème très original : la littérature a un sexe. Je me suis donc présentée à l’Usine C avec la certitude de voir un spectacle qui me ferait vivre plein d’émotions.
Une fois assise à ma place, j’étais encore plus motivée, car j’avais la chance d’être dans la première rangée, en plein feu de l’action. De plus, la salle était très petite et avait une ambiance très intime. J’adore! Les décors étaient très surprenants. Des livres empilés autour de la scène, un lit dont le matelas était construit avec des papiers pliés et un frigidaire replis de livres. Le tout étant accentué de pommes rouges. L’ambiance indiquait que je passerais une soirée délicieuse. Quelques minutes d’attente et ça y est : les lumières se ferment, les acteurs entrent en scène et le spectacle commence!
On ne connait pas les noms des personnages. L’homme lit des extraits de romans tandis que la femme s’exprime en dansant. Voilà, je peux résumer toute l’action du spectacle en une seule phrase. Il n’y a pas de récit, les spectateurs n’avaient pas l’air de comprendre ce qui se passait devant leurs yeux. J’avais très envie de dormir, mais j’ai décidé d’écouter l’homme lorsqu’il disait : « Ne dors pas! Je vais te tenir éveillée! ». J’avais plus l’impression qu’il s’adressait aux spectateurs plutôt qu’à la femme. Durant tout le récit, je n’ai pas ressentie une seule fois la chimie entre les deux acteurs. Ils semblaient étrangers, froids. Je dois cependant souligner quelques points forts de la mise en scène. Le mélange de la danse et de la littérature était bien équilibré et l’éclairage était très réussi. Les décors, pour leur part, traduisaient le côté farfelu et imaginaire du récit contemporain.
Perlinpinpin
Cette semaine, j’étais très motivée et j’ai fait des recherches avant d’aller voir la pièce de Catherine Lalonde, Musica Norturna. Les informations que j’ai dénichées sur le web ont doublé mon enthousiasme! L’œuvre mélange la danse et la littérature qui sont les deux passions de la jeune artiste. En plus, elle souligne les problèmes de communication entre les hommes et les femmes tout en explorant un thème très original : la littérature a un sexe. Je me suis donc présentée à l’Usine C avec la certitude de voir un spectacle qui me ferait vivre plein d’émotions.
Une fois assise à ma place, j’étais encore plus motivée, car j’avais la chance d’être dans la première rangée, en plein feu de l’action. De plus, la salle était très petite et avait une ambiance très intime. J’adore! Les décors étaient très surprenants. Des livres empilés autour de la scène, un lit dont le matelas était construit avec des papiers pliés et un frigidaire replis de livres. Le tout étant accentué de pommes rouges. L’ambiance indiquait que je passerais une soirée délicieuse. Quelques minutes d’attente et ça y est : les lumières se ferment, les acteurs entrent en scène et le spectacle commence!
On ne connait pas les noms des personnages. L’homme lit des extraits de romans tandis que la femme s’exprime en dansant. Voilà, je peux résumer toute l’action du spectacle en une seule phrase. Il n’y a pas de récit, les spectateurs n’avaient pas l’air de comprendre ce qui se passait devant leurs yeux. J’avais très envie de dormir, mais j’ai décidé d’écouter l’homme lorsqu’il disait : « Ne dors pas! Je vais te tenir éveillée! ». J’avais plus l’impression qu’il s’adressait aux spectateurs plutôt qu’à la femme. Durant tout le récit, je n’ai pas ressentie une seule fois la chimie entre les deux acteurs. Ils semblaient étrangers, froids. Je dois cependant souligner quelques points forts de la mise en scène. Le mélange de la danse et de la littérature était bien équilibré et l’éclairage était très réussi. Les décors, pour leur part, traduisaient le côté farfelu et imaginaire du récit contemporain.
Perlinpinpin
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